Fiat Jam: perspectives pour 2004
Dimanche, le 28 décembre 2003

Il y avait de la trempette pour tout le monde, thanks to Frank, le soir du Fiat Jam de Noël à l'Arlequin. Un jam mémorable, qui a vu passer sur sa scène, en plus des vieux de la vieille du Fiat Jam (Bigue Nique, Franky, Lio, Émilie et Steve), quelques petits nouveaux qui ont agréablement surpris l'auditoire: Simon Talbot, dont c'était la première performance sur scène, un duo guitare-batterie funky surprenant mais anonyme, et un seul djembé (lui aussi anonyme), malgré l'invitation lancée aux percussionnistes du Tam-tam Jam de l'avant-veille. Même le gérant, Jean-Thierry, et le sound-man Ludovic sont allés faire un saut sur la scène, à la basse et au drum, respectivement.

Ce fut un joyeux Noël pour tout le monde, surtout pour le staff du Fiat Jam qui s'est fait aussitôt proposer, à la fin de la soirée, d'occupper tous les mercredis soirs à l'Arlequin. Aucun accord n'a été officiellement ratifié jusqu'ici, mais on sait que la proposition de l'Arlequin permettrait l'atteinte des objectifs initiaux que l'organisation du Fiat Jam s'était fixés pour janvier 2003, les surpassant même.

Le bonheur est dans la cabane chez Fiat+/-Lux Media. Les perspectives qu'ouvrent la proposition de l'Arlequin pour 2004 sont inespérées. L'équipement étant fourni par le bar, l'emprunt et la location d'équipement n'est plus nécessaire, allégeant du coup la charge de responsabilité et financière de l'organisation du jam. Même le sound-man est fourni par l'établissement, au grand plaisir de Bigue Nique, qui ne demande que ça pour s'en doner à coeur joie sur la scène. De plus, la qualité du son est nettement supérieure à celle qu'on arrivait à obtenir de peine et de misère à l'Ostradamus. L'entrée serait dorénavant gratuite. L'Arlequin s'occupe de tout filmer et enregistrer... Comment refuser une telle proposition?